Experte en gorge profonde

Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux Libertins
il y a 3 ans

Je m’appelle Corinne, j’ai 32 ans et je suis infirmière. Je suis mariée depuis quinze ans avec le même homme. Je l’ai connu à 17 ans. Il en avait 32 et c’est lui qui m’a dépucelée. Il m’a fait un e n f a n t et on s’est mariés. Mais, pour ma part, pendant quinze ans, je n’ai pas su ce qu’était le plaisir. Avec mon mari, j’ai toujours eu droit à des petites baises bâclées, puis à ses ronflements en guise de conclusion. Je devenais dépressive, j’étais persuadée de ne pas plaire aux hommes, avec mon mètre cinquante-trois et ma poitrine encombrante qui me complexait depuis toujours.

Sur les conseils de mes copines, je me suis relookée. J’ai changé de coiffure, je me suis maquillée, mes amies m’ont aidée à dégoter la tenue idéale : une petite robe courte moulante, décolletée, à porter sans soutien-gorge. Pour la première fois de ma vie, j’ai enfilé un string. La sensation de la soie frottant ma raie était délicieuse. Je suis rentrée à la maison dans cette tenue, heureuse d’offrir une nouvelle femme à mon époux. J’espérais lui donner des idées originales et faire évoluer notre sexualité. L’effet a été radicalement inverse. Très en colère, il m’a dit que j’avais l’air d’une pute. J’ai ressenti une profonde déception et, après une dispute mémorable, je suis partie chez ma meilleure amie Nathalie.

Nathalie était sortie. C’est son mari qui m’a ouvert. Je le connais bien et je lui ai confié ma mésaventure. Lui, au moins, n’est pas resté indifférent devant ma métamorphose. Il m’a trouvée « bandante », pour reprendre ses propres termes. Il me déshabillait du regard. Jamais un homme ne m’avait admirée de cette façon. Malgré ma gêne, je l’ai laissé venir vers moi et m’embrasser. J’avais un grand besoin d’affection et de reconnaissance à ce moment-là. Il m’a entraînée dans la chambre, puis a fait glisser ma robe et mon string. Je me suis allongée sur le dos, jambes écartées. Il m’a pénétrée avec douceur, en prenant son temps. Petit à petit, je me suis détendue, et mon ventre qui chauffait de plus en plus s’est crispé sous ses coups de queue. J’ai connu mon premier orgasme. C’était vraiment fabuleux !

Il n’a pas joui en moi. Il s’est levé, et m’a fait mettre à genoux pour que je le suce. J’ai hésité, j’avais très peu pratiqué avec mon mari qui trouve que ça fait « salope. » J’ai ouvert la bouche et j’ai saisi son pénis entre mes lèvres. Prenant soin de ne pas le mordre, j’ai entamé un va-et-vient. Etonnamment, j’ai pris du plaisir à sucer cette bite inconnue.

J’ai fait rouler ses couilles dans ma paume (j’avais lu ça dans Union !). J’ai été surprise quand il a giclé dans ma bouche. Je ne savais pas quoi faire, j’avais la bouche pleine de sa tige, son sperme m’envahissait les joues. Il m’a envoyé une deuxième bonne giclée en me disant d’avaler, ce que j’ai fait avec difficulté. J’étais un peu écoeurée au passage de son sperme dans ma gorge. Pour une première fois, je n’ai pas trouvé ça très bon.

Après cette expérience avec le mari de mon amie, je ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin. Le lendemain, j’ai allumé un jeune stagiaire dans les sous-sols de la clinique où je travaille. Je me suis laissée peloter les seins. Le garçon était visiblement très excité. J’ai défait sa braguette pour le branler. Ensuite, j’ai ouvert ma blouse, enlevé mon soutien-gorge et j’ai pris sa queue entre mes seins pour la branler énergiquement. Le jet de sperme m’a éclaboussée, j’avais du foutre jusque sur le menton.

Quelques semaines plus tard, un nouveau gardien intérimaire est venu travailler à la clinique. Il avait la peau mate, une barbe naissante, une épaisse toison débordant de sa chemise. J’ai complètement craqué, et je me suis arrangée pour remplacer une collègue de l’équipe du soir. Je l’ai retrouvée dans sa guitoune pendant ma pause. J’avais pris soin de poser mes dessous au vestiaire pour être nue sous ma blouse. Il a tout de suite compris ce que je voulais. J’ai défait sa braguette, plongé la main dans son caleçon. J’y ai déniché une grosse bite. Je n’ai eu qu’à me pencher légèrement pour la prendre dans ma bouche. De mémoire, c’était un beau morceau, mes doigts n’en faisaient pas le tour ! Je l’ai sucé avec difficulté. J’avais de la peine à garder le rythme. Cette pipe me faisait mouiller, je lui ai demandé de me baiser.

C’est en levrette qu’il m’a prise. Debout, cramponnée à la table, j’ai gémi à chaque fois que sa grosse pine butait au fond de mon vagin. Il a éjaculé en grognant comme une bête. Cela reste l’un de mes meilleurs souvenirs !

Corinne,

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement